top of page
IMG_2964.jpeg

Motobécane BG 42

le Solex de chez Motobécane

Modèle : Motobécane BG 42

Histoire : Le succès commercial du Solex a fait beaucoup d’envieux.

Motobécane, malgré les ventes de ses mobylettes, en a fait partie.

Lancé dans les années 50, la Motobécane BG se voulait être la concurrente directe du solex.  Avec sa transmission à galet et son moteur sous le pédalier, la BG se voulait aussi plus “sûre” en terme de conduite.

Pourtant cet engin n’a pas eu le succès commercial que Motobécane escomptait. La simple Mobylette était plus performante que le modèle à galet.

Toutefois, ce cyclo, comme la BG 43 qui lui a succédé, est un engin coupleur, facile d’utilisation et tout à fait à sa place dans une collection de cyclos à galet.

Travaux à effectuer :

Ce cyclo était, esthétiquement, en assez bon étamais le moteur était hors d’usage. il a donc fallu :


  • Restaurer le cadre en préservant le jus d’origine,

  • la remise en état intégral du moteur en améliorant les performances,

  • et naturellement le changement de l’intégralité des pièces usées pour une sécurité maximale (pneus,  révision des freins…).

Chronologie :

  • Démontage intégral du moteur et réfection à neuf : roulements, joints spi, carburateur : ce moteur est resté à “100% origine”. Le haut moteur, totalement “rincé” a été changé pour un modèle de marque Airsal plus récent. Problème : ce cylindre est carré alors que le cylindre d’origine est rond. Il a donc fallu arrondir le cylindre pou qu’il puisse, visuellement, prendre sa place dans l’ensemble.

  • Démontage et réparation intégral de l’embrayage : ferodo, patins, etc….. et tout cela en respectant le fait que cet embrayage est entièrement monté à l’envers des moins classiques puisque le moteur tourne lui même..à l’envers.

  • Nettoyage et polish du cadre, réfection des filets “argent” car effacés par l’usure et le polish,

  • Lustrage des chromes et aluminium,

  • Changement des pneus,

  • remontage et réglage de la partie cycle, tout particulièrement de l’état de la câblerie et des freins, indispensable pour la sécurité du conducteur,

  • rodage de l’ensemble.

A la conduite, c’est d’abord une mobylette, donc un engin plus puissant qu’un Solex 3800 d’origine.  Sa conduite est agréable, coupleuse en montée, facile d’utilisation avec son embrayage.

Elle est naturellement moins apte aux montées qu’une mobylette à chaine et le galet a tendance à patiner lorsque la route est mouillée…. rien de bien anormal pour un cyclo à galet.

bottom of page