top of page
velogarelli-face-droite-480x360.jpeg

Vélo Garelli

Sur la route

Modèle : Vélo Garelli

Histoire :

C’est en 1919 qu’un ingénieur italien du nom d’Alberto GARELLI crée sa première moto largement inspirée des DKW allemandes.

Au fil du temps, GARELLI devient une marque de moto reconnue et avec de nombreux palmarès en course.

Après la seconde guerre mondiale, GARELLI concentre sa production sur des modèles allant de 34 à 125 cm³ et connaît un important succès en Italie.

Ce petit cyclo rouge Vélo Garelli a été très largement diffusé en Italie, il s’agit d’un modèle strictement utilitaire pour ce pays : pas de suspension, moteur de type Mosquito à galet sous le pédalier etc….

Si c’est un cyclo utilitaire en Italie, c’est plutôt un engin bien exotique par chez nous et en tout cas relativement rare.


Options :

Ce Vélo Garelli est équipé d’un porte paquet avant et, dans notre cas, d’un panier en osier installé par le concessionnaire lors de l’achat (la facture fait foi).

Travaux à effectuer :

Son état général était bon, mais le moteur ne fonctionnait pas. Le travail s’est donc focalisé sur :


  • Le nettoyage et polish du cadre,

  • La remise en état intégral du moteur,

  • Et naturellement le changement de l’intégralité des pièces usées pour une sécurité maximale (pneus,  révision des freins…).

Chronologie 

  • Côté carrosserie : pas de souci particulier. Plutôt récent (années 75) la carrosserie est en bon état et le polish n’a fait que renforcer cet état.

  • Le réservoir a été démonté, nettoyé et résiné car il était très rouillé.

  • Côté moteur : les spis et roulements ont été changés car secs, l’allumage a été recalé et surtout le carburateur refait à neuf car il manquait, curieusement,  la moitié des pièces à l’intérieur !!

  • Les freins ont été contrôlés et rectifiés.

  • Enfin les pneus ont été changés, la pression du moteur sur le pneu a été ajoutée (pour éviter soit trop de patinage soit trop appuyée de faire “souffrir” le moteur.

A la conduite,  c’est un engin très inconfortable  car sans suspension ! Vous sautillez donc d’un trou à un nid de poule en vous accrochant au guidon 🙂 Je vous déconseille donc les grandes balades à son guidon.

Le Vélo Garelli reste cependant très puissant avec son moteur Mosquito qui le place au dessus d’un Solex d’origine. De plus il est  facile d’utilisation en ville grâce à son embrayage. C’est d’ailleurs en ville que ce cyclo a eu le plus de succès car c’est un engin passe-partout, idéal pour ramener les courses du marché grâce à son porte bagage avant  et à son réservoir plat servant de porte paquet à l’arrière.

bottom of page